Depuis 2019, la Plate-forme ouverte du patrimoine (POP) permet de recenser sur le même site internet l’ensemble des notices des biens culturels français. Plus de 3,7 millions de fiches sont ainsi mises en ligne. Elles concernent des peintures, des sculptures, de l’architecture, des objets d’art, des photographies ou encore des enluminures. Ces biens peuvent être propriétés publiques ou privées, conservés dans les musées de France ou les bibliothèques et bénéficier d’un classement ou d’une inscription au titre des Monuments historiques.
Cliquer sur les photographies ci-dessus pour accéder au site mentionné.
Base Joconde : catalogue collectif des collections des musées de France.
Base Mérimée : patrimoine architectural (immeubles), protégé au titre des Monuments historiques ou recensé dans le cadre de l’Inventaire général du patrimoine culturel.
Base Palissy : patrimoine mobilier (objets mobiliers), protégé au titre des Monuments historiques ou recensé dans le cadre de l’Inventaire général du patrimoine culturel.
Base Mémoire : photographies conservées par les services centraux (Médiathèque de l’architecture et du patrimoine) et déconcentrés du ministère de la Culture, ainsi que par les services régionaux de l’Inventaire général du patrimoine culturel.
Base MNR Rose Valland : catalogue en ligne des biens MNR (Musées nationaux Récupération) spoliés pendant la Seconde Guerre mondiale.
Base Muséofile : répertoire des musées de France.
Base Autor : répertoire des producteurs de fonds conservés à la Médiathèque de l’architecture et du patrimoine (MAP), répertoire de peintres-verriers pour la plupart actifs aux XIXe et XXe siècles, et répertoire des orfèvres enregistrés à la Garantie de Paris au XXe siècle.
Base Enluminures : reproductions numériques d’enluminures et d’éléments de décor de manuscrits médiévaux conservés dans une centaine de bibliothèques municipales françaises.
La base POP est mise à jour régulièrement et les utilisateurs sont invités à signaler les erreurs constatées. Néanmoins, comme tout outil de recherche, il faut l’utiliser avec discernement. En effet, les bases de données étant nationales, des toponymes identiques peuvent entraîner des confusions. Les choix des mots-clés sont importants et les résultats sont à confronter avec d’autres sources. C’est une matière brute pour les chercheurs. Mais l’accès à ces catalogues donne l’occasion de découvrir des photographies inédites et souvent de bonnes qualités.
Cliquer sur l’image pour l’agrandir.
QUAND SAINT JAMES GARDAIT L’ENTRÉE MÉRIDIONALE D’AIGUEPERSE
Ainsi, pour Aigueperse, il est possible de revoir la statue de saint James alors qu’elle était encore dans sa niche du bas de ville d’Aigueperse ou de revoir l’ancien clocher de l’église d’Aigueperse.
L’ancien clocher de l’église
Pour accéder à la base de données P.O.P., un clic sur l’image ci-dessous :
